L'hôpital est plein de monde : personnel et patients. C'était un problème d'être seul, et ici c'était pratiquement un rendez-vous avec des conséquences inconnues. Serge a hâte de regarder son interlocuteur, il veut s'assurer qu'il est sérieux.
- Croisons-nous dans le passage entre les salles, nous discuterons, dit Serge.
- J'arrive !
L'inquiétude grandissait dans la poitrine de Serge. Il se sentait comme un adolescent avant le premier rendez-vous. Son pouls s'accélère et des projets d'évolution lui viennent à l'esprit. En sortant de la salle, il s'est arrêté à la fenêtre et a fait semblant d'observer tranquillement la rue. Mais l'excitation n'était pas au rendez-vous, et les tremblements intérieurs étaient même excitants. Quelques minutes passèrent et un homme d'environ 55-60 ans apparut dans le passage. Il s'agit d'une sorte de divorce", se dit-on. Une sorte de divorce", pensa-t-il. Serge fit semblant d'être là par hasard et porta son attention sur l'immeuble en face de la fenêtre. L'homme passa devant et disparut derrière une porte, Serge poussa un soupir de soulagement. Quelques minutes s'écoulèrent encore et Serge craignait déjà que la réunion n'ait pas lieu. Mais des pas se font entendre au bout du couloir et l'homme apparaît dans l'embrasure de la porte. Des jambes robustes et fortes recouvertes d'un short, des épaules larges. Son visage était caché par la capuche de son sweat-shirt. Il s'est approché de Serge avec assurance et a enlevé la capuche.- Eh bien, bonjour.
- Bonjour", répond Serge. - Comment tu t'appelles, d'ailleurs ?
- Alexei", répondit-il, un peu formel, et il s'appuya sur le rebord de la fenêtre.
Il faisait nuit dehors, et seule la lampe de service au fond du passage était allumée. Serge essaya de voir le visage d'Alexei, mais c'était impossible dans cette lumière. Ils échangent quelques mots et, reconnaissant qu'ils sont tous deux fumeurs, décident d'aller fumer.
Ils descendirent du troisième étage et passèrent dans le vestibule entre les portes d'une certaine entrée de service. Là, la lumière les éclairait et ils pouvaient s'examiner en détail. Une tignasse de cheveux bouclés couronnait un visage rond au menton volontaire, au petit nez droit, aux belles lèvres. Et les yeux ! Ils brillaient et leur regard était à la fois pénétrant et bienveillant. Ils fument.
Alors qu'ils parlaient avec désinvolture de leur séjour à l'hôpital, Serge fit un pas vers Alexei. Il avait tellement envie de se rapprocher de lui et de le câliner. Mais à ce moment-là, la porte s'est ouverte et une femme est entrée dans le vestibule en fumant une cigarette. Les gars ont rapidement fini de fumer et sont montés à leur étage.- C'est louche, il y a toutes sortes de gens qui se promènent", dit Alexei.
- Vous ne dites rien. Pourquoi ne dorment-ils pas ? - réplique Serge avec colère.
- Rencontrons-nous plus tard. Après l'extinction des feux.
Ils rejoignirent leurs salles, et pour Serge le temps passa très lentement. C'était très languissant d'attendre la suite de cette rencontre avortée. Une heure plus tard, Serge écrivit :
"A quelle heure comptes-tu partir ?"
"Douze heures quelque part", répondit-il.
Et les longues minutes d'attente recommencent.
- Peut-être dans notre salle, dans les sanitaires. Nous n'avons pas de silence du tout", écrit Serge.
- Nous avons une salle de bains. On peut le faire là", répond Serge.
- Je sors, je te retrouve dans le passage.
- Il est encore tôt !
- J'arrive !Serge quitte le service sous les ronflements de ses voisins. Le service est calme, même le personnel soignant se repose. Il traversa les couloirs en silence et s'arrêta devant la fenêtre où ils s'étaient rencontrés pour la première fois. Alexei n'a pas continué. De temps en temps, on entendait un grincement de porte, et Serge réagissait à chaque fois, pensant que c'était lui qui arrivait. L'horloge indiquait midi moins le quart. "Il doit attendre minuit", pensa Serge, qui se rendit sur le palier et descendit fumer une cigarette. Avant même que la porte ne se soit refermée, Serge entendit des pas derrière elle. C'était Alexei.
- Viens, on va fumer !
Ils descendirent au rez-de-chaussée.
- Ici, vous pouvez aller au sous-sol, - dit Alexei et il commença à descendre.
Dans le sous-sol, il y avait des armoires électriques, éclairées par une faible lampe.
- Tu peux aller ici", dit une voix venant d'en bas.
Serge descendit dans la pièce à peine éclairée. Il s'approcha d'Alexei et tâcha de mettre la main dans son caleçon. Sous celui-ci, il découvrit des couilles assez grosses et une bite à moitié excitée. Sa main glissa de haut en bas, explorant le contenu. La passion envahit toutes les cellules de Serge.Le partenaire n'est pas en reste et imite les gestes du gars. Serge a retiré son pantalon et sa culotte, qui lui arrivait au niveau des genoux. Sa bite est en alerte. Même en se masturbant, il n'avait jamais eu une érection aussi dure. Il avait l'impression que le gland allait éclater, la peau était tendue à l'extrême. Alexei se mit à califourchon sur la bite de Serge et commença à la masser. Serge baissa le short du gars et sa bite mesurait seize centimètres de long, lisse et pas très épaisse. Comme la mienne", remarqua-t-il, avant de dire à haute voix : "Ma taille préférée" : "Ma taille préférée. Ils se mirent en face l'un de l'autre et se branlèrent mutuellement. Serge tendit son autre main et commença à masser les couilles de son partenaire. L'excitation est à son comble. "Depuis combien de temps ai-je envie de ça ?", se dit Serge. Il retire sa main de celle d'Alexei et, enjambant les deux bites, commence à les branler.
- Embrasse-moi ! - Et ils se confondirent dans un baiser.
Leurs lèvres se pressent avidement l'une contre l'autre, ils s'enlacent, leurs mains se promènent sur les fesses de leur partenaire.- Soyons matures ! - plaisante Serge en s'agenouillant devant le garçon.
Qu'elle est belle la bite d'Alexei ! La tête était complètement ouverte, lisse comme une flèche, et seules les veines palpitaient à la surface de la peau. Serge entoura la bite de ses lèvres et commença à la caresser. Il éprouve un bonheur qu'il n'a pas ressenti depuis longtemps. Jouant avec sa langue sur le frénulum, les testicules, passant sa langue sur la hampe, il sentait comment Alexei aimait ça, ses mains étaient dans les cheveux de Serge et ses yeux observaient attentivement le processus.
Alexei a soulevé le gars, l'a embrassé et a pris sa place par en dessous, maîtrisant sa bite. Ses gestes sont précis : tenant la base de la bite avec sa main, il la suce en la tournant légèrement. Serge rejette la tête en arrière et sent tout son corps trembler. Alexei, sentant le surmenage du jeune homme, lui demande de ne pas jouir.
- Ne t'inquiète pas, je ne suis pas un tireur rapide, plaisante-t-il. - Lève-toi !Une fois de plus, ils s'embrassent. La bite de Serge pénétra dans le scrotum de son partenaire, où elle était chaude. Le lubrifiant coulait de sa bite et elle glissait entre ses cuisses, essayant de ressortir de l'autre côté. Alexei s'est retourné derrière lui et a demandé :
- Remue ta bite dans ton cul.
Tenant sa main, Serge fait monter et descendre sa bite sur les fesses serrées, entre elles et lui tapote l'anus.
- C'est bon, n'est-ce pas ? - demanda Serge.
- Tout à fait. Mais je ne suis pas prêt. Peux-tu jouir sur mon cul ?
Serge ne se fit pas prier deux fois et, s'aidant de sa main, il jouit abondamment en gémissant doucement. Un instant plus tard, Alexei poussa un gémissement, éjaculant sauvagement et abondamment. Le cœur de Serge battait frénétiquement, et une agréable langueur se répandait à l'intérieur. Serge n'aurait jamais cru ce qui venait de lui arriver. Et si c'était même réel que deux personnes d'une grande ville puissent se retrouver par hasard dans un hôpital. C'est le destin. Alors, quelle est la suite ? Ils se rendent dans leurs services respectifs.- Est-ce que je te reverrai ? - demande Serge.
- A plus tard, camarade ! - répondit-il avec sarcasme.
Serge marcha le long du passage en réfléchissant à cette phrase. Elle lui paraissait de deux manières : soit elle laissait entrevoir une suite, soit elle mettait un terme à l'histoire. Serge se rendit dans la chambre où le sommeil régnait, ouvrit son téléphone et lui envoya un texto : "Merci !". Et le matin, Alexei a envoyé un texto pour annoncer qu'il resterait deux jours de plus à l'hôpital.
- C'est dommage que je sois sorti. J'aurais aimé rester quelques jours moi aussi", a répondu Serge.
Est-ce vraiment la fin de l'histoire ? Nous verrons bien